La conscience
ou
Les divorcés remariés et la conscience
1. Deux faits.
Pour les personnes divorcées, l’autorité de l’Église n’a, depuis le Concile Vatican II, prévu aucune sanction si ce n’est l’interdiction de se remarier sauf en cas de décès de l’ex. Avant ce Concile une personne divorcée n’avait pas droit à des funérailles religieuses ! Quant aux personnes divorcées remariées, l’autorité de l’Église leur interdit toujours d’encore communier et de se confesser. Car pour cette autorité, l’acte de se remarier civilement est lus grave que l’acte du divorce !